«Râpure» de cucurbitacées

Séchage à l'air d'une courge Doubeurre râpée




Première courge Doubeurre, crue, pelée et râpée.
(photo à H = 0)

Durant la première demi-jourée,
la râpure est «brassée» toutes les heures,
pour éviter qu'elle ne colle à la plaque.

Durant la seconde demi-jourée,
elle est «brassée» toutes les deux heures.

Ensuite, quelques fois par jour.


Au vu du faible séchage durant la première journée,
et craignant que la couche soit trop épaisse pour sécher convenablement,
l'ensemble est réparti sur 2 plaques. (photo à H = +12)


Après 24 heures (photo à H = +24)


Après 48 heures (photo à H = +48)


Résultat, «râpure» de courge Doubeurre séchés,
prêt pour agrémenter une soupe hors-saison.




Hormis la taille des brins de râpure et l'humidité de la courge au moment où elle est râpée, la durée de séchage dépend aussi de la température ambiante et de l'humidité de l'air. L'exemple ci-dessus, a été fait au début novembre, dans un appartement non chauffé, où la température oscillait entre 15 et 20°C, avec une humidité moyenne de 45% (variation +/- 5% suivant les heures de la journée ou de la nuit).




Pour les séries suivantes, un papier sulfuré est posé sur la plaque, afin d'éviter de devoir «brasser» la râpure trop souvent.
Ce qui fut concluant, puisqu'avec lui il suffira de «brasser» la râpure deux fois par jour seulement.
(sur la photo râpure de potiron Bleu-de-Hongrie)




Râpe utilisée (en l'occurence celle qui a le plus fin mordant)




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